BOUYGUES Jef
http://www.jefbouygues.com/about.html
Mé dou kil sor ?
Natif du Sud-Ouest (Gourdon-Lot), Jef Bouygues a 24 ans lorsqu'il quitte son pays du Quercy en 1989 pour « monter à Paris ». Durant trois ans il suit des cours d'Art dramatique à l’École Florent, qui au-delà de l'Art de la Comédie, lui apporte l'inspiration finale qui manquait à l'accomplissement de son écriture. De nombreuses idées de scénarios vont également germer de son travail de comédien. Par la suite, il participe à la création d'une troupe de théâtre, écrit et joue « Personne ne bouge, Police! » au Petit Théâtre de Clichy en 1992.
En mai 2009, lauréat du Grand Prix Femme Actuelle du roman de l'été 2009, Les Éditions Les Nouveaux Auteurs publie son premier roman « Au bord des cendres »
Son second roman « L'Homme qui rêvait d'ailleurs » est publié en avril 2013.
"Suis ton cœur pour que ton visage rayonne durant le temps de ta vie." (Sagesse Égyptienne)
Il est arrivé !
En librairie et en vente en ligne depuis le 30 mars 2017.
Résumé :
Stanislas Beck, guide de montagne venu en Bolivie retrouver son ami Abeluyo, trouve la mort sur l'Illimani. Six mois plus tard, près d'Aubagne, sa femme Serena donne naissance à Solo, en promettant de cacher à son fils qui était son père. Mais en grandissant, Solo est attiré par la montagne. Les conflits sont nombreux, car Serena s'oppose à cette passion. À 18 ans, grâce à sa mamie Mona, Solo apprend enfin qui était son père. Il décide alors de partir à Chamonix pour devenir comme lui : guide de haute-montagne. Cinq années passent. Serena qui avait renié son fils, finit par aller retrouver Solo à Chamonix, en le suppliant de renoncer à marcher sur les traces de ce père disparu. Mais Solo n'écoute pas, et s'envole pour la Bolivie...
Extrait :
J’ai également eu un pincement au cœur en pensant à ma mère. Prisonnière de ses carcans, de ses préjugés, de ses peurs et de son incapacité à s’accepter. Elle n’a toujours pas compris à presque 40 ans que ce ne sont pas les autres qu’elle doit affronter, mais elle-même. Aurai-je un jour le courage de la défier sur ce terrain ? Lui montrer une autre voie ? La guider vers son mont Blanc à elle ? La mener loin au-dessus des Hommes, au-delà de ses océans de nuages et de neige, et au-delà de sa propre conscience pour qu’elle s’accomplisse enfin, pleinement.
Bonne route à « Illimani, La lumière du monde » !
Que les lecteurs puissent ressentir ce plaisir fou que procure la passion de la montagne !
Que sa « voie » soit celle d'une ascension magique !
« La passion de la montagne, chez un homme, c’est d’abord son enfance en lui qui ne veut pas mourir. » François Mauriac.